vendredi 16 décembre 2011

Combien de praticiens en médecines douces se mettent à leur compte ?

Que de centres de formations en relaxation, en massage d'origines diverses, en pratiques corporelles tels que le Qi Gong, le yoga, la gymnastique douce : en résumé, que de centres de formations en pratique à vocation de se développer personnellement soit physiquement, soit mentalement, soit physiologiquement ? Et combien de participants décident de sortir fiers de leur diplôme pour en devenir maître praticien ?
Peu, malheureusement. Pourquoi ? Parce que la formation est essentiellement orientée savoir faire. Ce qui est bien naturel et attendu par le public. C'est déjà là une nécessité absolue que le savoir faire soit transmis pour être assimilé et reproduit.
Tant que le jeune praticien s’exerce sur son entourage proche ; c'est souvent le cas pendant la formation d'ailleurs. Que devient-il lorsqu'il veut s'adresser à un autre public et vivre de ce nouveau savoir faire ?
Que connait-il de l'aspect commercial de sa nouvelle activité ?
Sauf exception, la réponse est souvent "Pas grand chose". Il ne suffit pas d'être bienveillant envers les futurs clients.

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